11 La métacognition t’aide à mieux faire. Exemple : imagine que tu prépares un contrôle de mathématiques. Tu te poses ces questions : "Est-ce que je comprends vraiment ce chapitre ? Si je ne comprends pas, qu'est-ce que je peux faire pour y arriver ?" Cela pourrait inclure des questions comme : "Quelles stratégies m'ont aidé la dernière fois ?", ou "Pourquoi est-ce que je trouve ce problème difficile ?", “À qui puis-je demander?” À quel exercice déjà effectué ressemble celui-ci ? Quel temps je vais mettre ? Je m’accorde une pause toutes les ... minutes. Qu’est-ce que je connais déjà sur le sujet ? Quelle est la partie du cours qui peut m’aider ? Qu’ai-je appris ? Sur quoi je bloque encore ? La métacognition, c'est la capacité de réfléchir sur ses propres pensées. C’est très important pour réussir à être vigilant à tes sensations et tes jugements sur toi-même quand tu travailles. C’est comme avoir une conversation avec toi-même sur ce que tu sais et ce que tu ne sais pas et comment tu peux progresser. Une zone de ton cerveau est très utile pour la métacognition. Le cortex cingulaire antérieur sonne l’alerte quand il y a une incohérence entre ce que ton cerveau a prédit et ce qui se passe. Tu dois être attentif à cette sensation et ne pas te décourager ! Tu peux trouver la solution ! Exemple de questions à te poser Tu dois avoir confiance en toi car le cerveau est plastique ! À force de persévérer les connexions de ton cerveau se renforcent ! 8. JE MÉTACOGITE
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