Programmes 2016 adaptés à la Polynésie française 28 © Ministère de l’éducation et de l’enseignement supérieur, de la jeunesse et des sports > www.education.pf Connaissances et compétences associées Exemples de situations, d’activités et de ressources pour l’élève Copier de manière experte (lien avec la lecture) . Maîtrise des gestes de l’écriture cursive exécutés avec une vitesse et une sûreté croissantes. Correspondances entre diverses écritures des lettres pour transcrire un texte (donné en script et copié en cursive, ou l’inverse pour une copie au clavier). Stratégies de copie pour dépasser la copie lettre à lettre : prise d’indices, mémorisation de mots ou groupes de mots. Lecture (relire pour vérifier la conformité). Maniement du traitement de texte pour la mise en page de courts textes. Activités permettant le perfectionnement des acquis (sûreté et vitesse) et complétant l’apprentissage non achevé à l’issue de la maternelle, après explicitations et démonstrations du professeur, avec son guidage aussi longtemps que nécessaire. Tâches de copie et de mise en page des textes dans des situations variées et avec des objectifs clairs qui justifient les exigences (pouvoir se relire, être lu) : demandes ou informations adressées aux parents ; synthèses d’activités ; outils de référence ; résumés de leçons ; poèmes et chansons à mémoriser ; anthologie personnelle de textes… Produire des écrits en commençant à s’approprier une démarche (lien avec la lecture, le langage oral et l’étude de la langue) Identification de caractéristiques propres à différents genres de textes. Mise en œuvre (guidée, puis autonome) d’une démarche de production de textes : trouver et organiser des idées, élaborer des phrases qui s’enchaînent avec cohérence, écrire ces phrases. Connaissances sur la langue (mémoire orthographique des mots, règles d’accord, ponctuation, organisateurs du discours…). Mobilisation des outils à disposition dans la classe liés à l’étude de la langue. Dans la continuité de ce qui a été pratiqué à l’école maternelle, dictée à l’adulte aussi longtemps que nécessaire pour les élèves peu autonomes pour écrire. Situations quotidiennes pour des écrits courts intégrées aux séances d’apprentissage ; écrits longs intégrés à des projets plus ambitieux moins fréquents. La variation sur la longueur peut être une variable différenciant les attentes selon l’aisance des élèves dans une même situation. Variété de formes textuelles : récits, devinettes, poèmes et jeux poétiques, protocoles et comptes rendus d’expériences, règles de jeu, lettres, synthèses de leçons, questionnaires, réponses à des questions, courriels, contributions à des blogs, etc. Situations d’écriture à partir de supports variés (début de texte à poursuivre, texte à détourner, photos à légender…). Recherche collective des caractéristiques attendues du texte à produire. Pratique du « brouillon » ou d’écrits intermédiaires. Modalités de travail à deux (motivation mutuelle, aides). Réviser et améliorer l’écrit qu’on a produit (lien avec l’étude de la langue) . Repérage de dysfonctionnements dans les textes produits (omissions, incohérences, redites…). Activités permettant de s’habituer à intervenir sur des textes, notamment modifications de textes (enrichissement de phrases, recours aux pronoms pour éviter les répétitions, changement ou ajout d’éléments…) d’abord effectuées de façon collective, notamment au moyen du TBI,
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