97 Anaa “Stella” Empreinte divine, reflets de l’invisible, Anaa, l’esquif ovoïde ; La mer étale de l’univers, la mer de l’espoir m’enfouit Dans sa gloire ; Je me déploie, je m’envole comme un condor Dans la pénombre du nadir ; C’est la symphonie écarlate du couchant qui attise les étoiles, Étincelles divines de l’Éther*, Orbes immenses qui m’enveloppent de leurs rets* inaliénables ; Anaa, auréole D’or portant en son sein L’écho d’une parole lancinante, Rythme d’un Destin immuable.
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