Les Chinois de Polynésie française Entre permanence et transformation identitaire

REMERCIEMENTS Ce travail n’aurait jamais pu prendre corps sans la participation et le soutien de nombreuses personnes. Chacune à leur manière ont contribué à l’élabo- ration de cette étude, aussi bien par des encouragements que par du temps consacré à la relecture ou à m’accueillir lors de cette recherche, j’espère que toutes ces personnes se reconnaîtront. Je remercie celles-ci de l’attention particulière qu’elles ont portée ou qu’elles portent à mon travail. À cet effet, je tiens à remercier plus spécifiquement les personnes qui ont participé aux entretiens menés. Sans elles, cette étude aurait été in- complète, voire impossible. De même, je remercie MM. Baffie et Sellato pour le soutien apporté tout au long de ces deux années de recherche. Beaucoup d’autres personnes devraient également avoir toute ma reconnaissance, comme les membres de ma famille, et notamment mes parents et mon frère qui ne cessent de me soutenir dans mes études malgré les difficultés qu’elles incombent, mais aussi ma cousine Nadia pour son aide lors de mes déplacements parisiens, et mon cousin Guy, sans qui, je n’aurais certainement pas pu faire cette étude sur l’Association Philanthropique Chinoise. Je remercie également Sylviane et Areva pour leurs constants encouragements. Elles ont su me pousser et trouver les mots justes qui m’ont permis de ne jamais abandonner ou de douter de mon travail. Je n’oublie pas non plus de remercier Guillaume pour la relecture qu’il a effectuée. À toutes ces personnes que je viens de nommer, je n’aurais jamais assez de mots pour leur montrer toute ma gratitude. J’ai une reconnaissance particulière pour Barbara Drouot-Baille, car cette dernière a cru à la concrétisation de ce mémoire, allant jusqu’à m’épauler dans son élaboration par ses suggestions pertinentes, par ses réflexions enrichissantes ainsi que par ses nombreuses et minutieuses relectures. Nos longues et passionnantes discussions sur les Chinois de Polynésie française furent une source d’inspiration et de réel plaisir. Ce qui me pousse à dire que celles-ci nous ont permis d’échanger judicieuse- ment sur cette « communauté » afin de mieux la comprendre et de mieux la cerner. Pour conclure, de peur d’avoir oublié certaines personnes, je remercie toutes celles qui, de près ou de loin, aussi bien au sens propre qu’au sens figuré, ont participé à la construction de ce mémoire. Je leur dis sincèrement : « Merci à chacun et à tous ! Ce travail est aussi le vôtre ! », car la recherche constitue pour moi une expérience humaine à la fois individuelle et collective. 7 (Ph. Archives de la P.F.)

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